Saisie de correspondances entre un avocat et son client protégées par le secret

Dans un arrêt du 24 avril 2013, la Cour de cassation a prononcé une cassation partielle de l’ordonnance du premier président de la Cour d’appel de Paris qui avait rejeté la demande d’annulation d’une saisie, par l’Autorité de la concurrence, de pièces informatiques couvertes par le secret des correspondances avocat-client, lors d’une opération de visite dans les locaux d’une société. La Cour a rappelé que le secret des correspondances est violé « dès que le document est saisi par les enquêteurs », et non pas uniquement lorsque le document est utilisé.

Pour lire l’arrêt sur Légifrance

Ne manquez pas nos prochaines publications

Votre adresse email est traitée par FÉRAL afin de vous transmettre les publications et actualités du Cabinet. Vous pouvez vous désabonner à tout moment. Pour en savoir plus sur la manière dont sont traitées vos données et sur l’exercice de vos droits, veuillez consulter notre politique de protection des données personnelles.

Rechercher
Fermer ce champ de recherche.