Le 1er août 2014, un décret est venu préciser l’ordonnance du 14 mars 2014 rétablissant le pouvoir de sanction de l’ARCEP, déclaré inconstitutionnel par un arrêt du Conseil constitutionnel du 5 juillet 2013. Ce texte fixe les « conditions dans lesquelles la formation de règlement des différends, de poursuite et d’instruction de l’Autorité mène l’instruction préalable à la mise en demeure et décide d’engager des poursuites lorsque la personne en cause ne s’y conforme pas dans les délais ». Le décret précise également « l’organisation et le fonctionnement de la formation restreinte appelée à prononcer les sanctions, et en particulier le déroulement des auditions devant elle ».
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