Par jugement du 10 novembre 2011, le Tribunal correctionnel de Nanterre a condamné EDF à une amende de 1.5 millions d’euros et l’un des responsables de la sécurité du groupe à trois ans de prison dont deux avec sursis pour recel et complicité d’accès et de maintien frauduleux dans un système de traitement automatisé de données. En l’espèce, le responsable de la sécurité d’EDF avait fait appel à une société d’intelligence économique afin de placer sous surveillance les ordinateurs et systèmes de messagerie électronique de Greenpeace.
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